Rendez-vous ici pour retrouver tous nos articles sur le Top 50.
20. Rigoberto URAN 128 points / 30 ans / Colombien / EF Education First-Drapac
On l’avait un peu oublié celui-là. Au début des années 2010, Uran était considéré, au même titre que Nairo Quintana, comme un des plus grands espoirs de cette folle génération colombienne. Après deux saisons en deçà des attentes, il s’est relancé l’an passé avec une belle deuxième place sur le Tour de France. On peut lui reprocher son attentisme en course, mais Uran a montré qu’il était fait pour les grands tours. Il sait grimper évidemment, mais il sait aussi rouler et il n’est pas le plus à plaindre sur les sprints en petit comité. Ce n’est pas le meilleur dans son genre, mais il a su tirer le maximum de ses capacités.
19. Mark CAVENDISH 130 points / 32 ans / Britannique / Dimension Data
Sur l’ensemble de notre classement, il est celui qui a réalisé la saison 2017 la plus médiocre. Entre mononucléose et fracture de l’omoplate, on peut toutefois lui trouver des circonstances atténuantes. Cette année, on s’attend encore une fois à ce que le Cav’ se rebiffe (cette expression marche toujours). Le Britannique a toujours su composer avec les hauts et les bas qui ont jalonné sa riche carrière. À 32 ans, il est loin d’avoir dit son dernier mot et il dispose encore d’une équipe à son service. Le cap des 150 victoires chez les professionnels est à portée de maine.
18. Dan MARTIN 130 points / 31 ans / Irlandais / UEA Emirates
L’année 2017 est paradoxale chez Dan Martin. Sur le plan sportif, c’est la saison la plus accomplie de sa carrière et possiblement la plus frustrante. Seulement battu par Valverde sur la Flèche et la Doyenne, l’Irlandais a serré les dents comme jamais pour prendre une honorable sixième place sur le Tour. Cependant, au-delà des places d’honneur, il n’a glané qu’une maigre victoire sur une étape du Tour de l’Algarve. Sous pavillon émirati, Martin espère changer la donne, notamment sur la Grande Boucle. Sa fougue et son vécu en course seront deux atouts de poids pour viser mieux qu’un accessit.
17. Michael MATTHEWS 135 points / 27 ans / Australie / Team Sunweb
« Bling » a enfin pris la lumière. Le maillot vert du dernier Tour de France est plus qu’un sprinteur. Il grimpe (un peu) et il peut même gagner des chronos. Il n’a pas encore la stature d’un Sagan, mais l’Australien s’est fait un nom. Pour s’émanciper davantage, Michael Matthews a décidé de changer de braquet. Moins de chasse aux étapes, plus de batailles sur les classiques. Milan-Sanremo, le Ronde, l’Amstel Gold Race et même Liège-Bastogne-Liège, autant d’épreuves théoriquement à la portée du Wallaby. Le plafond de verre s’effondrera le jour où il en gagnera une devant le Slovaque.
16. Mikel LANDA 138 points / 28 ans / Espagnol / Movistar
Etait-il plus fort que son leader, Chris Froome, en juillet dernier ? On n’aura sans doute jamais de réponse claire, mais le simple fait d’avoir installé le doute dans l’esprit des observateurs prouve à quel point Mikel Landa a changé. Il n’est plus un grimpeur capable de coups d’éclats ou de se muer en lieutenant, il est un potentiel vainqueur de grands tours. Jamais cela n’a été aussi clair, même si on en avait déjà eu un aperçu en 2015, lorsqu’il avait été un coéquipier envahissant pour Fabio Aru sur le Giro. Mais pas sûr qu’il doit davantage libre de ses mouvements chez Movistar.
15. Richie PORTE 140 points / 32 ans / Australien / BMC Racing Team
Chaque année, il semble être un prétendant de plus en plus sérieux pour les épreuves de trois semaines. L’an passé, après le Dauphiné, on le présentait même comme le probable bourreau de Chris Froome sur le Tour. Mais l’Australien a été rattrapé par ses vieux démons – selon les épisodes, la malchance ou le manque de fiabilité – et a quitté l’épreuve plus tôt que prévu, l’épaule en vrac. On a du mal à l’imaginer plus fort encore qu’il ne l’était en 2017, mais on se trompe peut-être, auquel cas il passerait forcément d’outsider numéro un à grand favori. Sur le Tour et partout ailleurs.
14. Fabio ARU 141 points / 27 ans / Italien / UAE Emirates
Porter les espoirs d’un peuple loin d’être rassuré lorsqu’il regarde vers l’avenir n’a rien d’aisé. Avec son ancien coéquipier Vincenzo Nibali, Fabio Aru a pour mission de maintenir le cyclisme italien à flot. Vaste mission, dont il s’accommode plutôt très bien. Entreprenant, il a déjà conquis une Vuelta et rêve désormais de Giro. L’an dernier, il a dû faire une croix sur la course rose mais, malgré un programme chamboulé, a réussi à faire quelques frayeurs à Chris Froome sur le Tour. Il reste le seul de ses adversaires, depuis 2013, à lui avoir fait lâcher le maillot jaune le temps de quelques jours.
13. Julian ALAPHILIPPE 146 points / 25 ans / Français / Quick-Step Floors
C’est à croire qu’il n’en a jamais fini de nous surprendre. Quand on le pense réduit aux ardennaises, il vient mettre le bazar sur le Tour. Quand on le pense à l’aise sur une semaine, en témoigne son fantastique Paris-Nice l’an passé, il vient batailler pour la victoire finale sur Milan-Sanremo. En compagnie de Peter Sagan et Michal Kwiatkowski, excusez du peu. Et tant pis si sa dernière saison a été plombée par une blessure. Quatre mois de compétition ont suffit à faire comprendre que le phénomène poursuivait quoi qu’il arrive son ascension. Il va falloir lui faire de la place, où bien il la prendra par lui-même.
12. Fernando GAVIRIA 152 points / 23 ans / Colombien / Quick-Step Floors
Révélé au grand jour lorsqu’il avait battu Mark Cavendish sur les premiers sprints de la saison 2015, en Argentine, Gaviria a intégré deux ans plus tard le gratin du sprint mondial. On n’ira pas jusqu’à lui prédire la même carrière que le Britannique, mais à l’heure actuelle, il est déjà le principal concurrent d’un Marcel Kittel incontestable patron de la discipline. Et avec le transfert de l’Allemand, le duel entre les deux hommes va pouvoir avoir lieu. Le prochain Tour de France doit en être l’apothéose. Mais on n’oublie pas que Gaviria, en plus de ça, garde un œil sur les classiques.
11. Romain BARDET 156 points / 27 ans / Français / AG2R La Mondiale
On a longtemps avancé la pression que médias et public mettaient sur les épaules des coureurs français pour justifier des résultats en dents de scie. Mais Romain Bardet ne veut aucune excuse. Depuis deux ans, il a dû gérer plus de pression que tous ses compatriotes, mais il a su ne pas se faire étouffer. Sur le podium des deux derniers Tours de France, il s’est positionné comme un candidat plus que crédible pour faire trébucher Chris Froome. Preuve de son nouveau statut, alors que le Britannique fait face à un contrôle anormal, il est de ceux qui prennent la parole, avec calme mais conviction.
Six de nos rédacteurs ont établi leur classement des 60 meilleurs coureurs du peloton, sans pré-sélection. Après exclusion du meilleur et du moins bon vote pour chaque coureur, nous avons conservé les 50 premiers (sur 82 coureurs cités) pour un deuxième tour. Il revenait alors à chacun d’établir une nouvelle hiérarchie en tenant compte de ces sélectionnés. 50 points allaient au premier, 1 au dernier, puis nous avons de nouveau exclu, pour chacun, le meilleur et le moins bon score pour livrer notre classement final.
bardet trop haut, richie porte est devant en terme de niveau . après par rapport a mon post précédant et pinot, 10 places d’écart c’est franchement trop, on croirait que les 2 coureurs sont séparé par un fossé … faut arrêté bardet il a laché 1 fois froome à la pédale a sur le tour (et celui ci avait une défaillance ) sinon bardet par rapport aux autre en montagne c’est quoi ? il attaque mais ne lache jamais personne, sur le tdf2017 il se fait largué au mont du chat, le reste de l’année il existe pas … encore une fois sur le tdf2017 il fini bien plus loin du 1er que pinot par rapport à dumoulin sur le giro ;) et sincèrement je reste persuadé que le niveau du giro était légèrement supérieur. pinot lui il y en a des étapes ou il laché les favoris à la pédale dans un col: – tour de romandie 2015 champex – tdr2014 port de bales – giro 2017 16 ou 17eme Etape quand il part a 6km du sommet, lache le peloton personne peut le rattraper.. en itw les favoris avoue être incapable de le suivre ce jours la …… Lire la suite »
Si Bardet arrive autant devant Pinot, c’est qu’on a en effet jugé qu’il y avait un écart de niveau entre les deux. Ca ne revient pas à nier les qualités de Pinot, mais il faut noter qu’on est face à deux coureurs différents. Bardet a décroché deux podiums consécutifs sur le Tour, pas Pinot tout simplement. Bardet a aussi joué la gagne sur le Tour en 2017, même si évidemment tout le monde ne l’a pas vu vainqueur, cela a été du domaine du possible. Jamais pour Pinot. Et dans l’ensemble, Pinot, depuis quatre ans, réussit une saison sur deux : les raisons sont multiples, mais niveau régularité et fiabilité, ce n’est pas la même chose. Alors oui, Pinot a lâché les favoris d’une course plusieurs fois. Tour 2014 ? Il a lâché Nibali, une référence sur trois semaines, mais qui en montagne n’a jamais étalé la domination d’un Froome, Quintana ou Contador. Tour de Romandie 2015 ? C’est au mois de mai, donc moins révélateur. Ou alors, Zakarin avait aussi lâché tout le monde (sauf Pinot, donc), est-ce qu’on doit le considérer au dessus en montagne de Froome et Quintana qui étaient derrière ? En revanche deux mois plus… Lire la suite »
le problème, c’ est que vous placé bardet devant simplement car il est plus régulier sur le tour … ça ne suffit pas le tour est une grande course mais de la à concentrer les débats d’une saisons… en 2016 bardet est bon toute la saison, la d’accord mais cette année c’est vraiment osée de le placer si haut alors qu’il à juste sa victoire d’etape et une 3eme place qui tient à peut de chose. ce que pinot a réalisé en montagne en lachant (même au mois de mai ) les favoris plusieurs fois , bardet ne le fait jamais, en montagne il est inférieur, en chrono aussi, il est moins complet sur les classique (pas de podium). le nibali de 2014 est tout de même impressionnant il n’écrase pas la course certes mais à part froome qui écrase réellement la course ? le nibali de 2014 est du même calibre que quintana et contador. Au giro ce que pinot a fait face a quintana , bardet à était incapable de le faire face a uran, hors ne comparons pas uran et quintana. le giro est en plus une course plus difficile physiquement, les mec finisse vraiment cramé. je… Lire la suite »
La saison 2017 de Bardet n’a pas été parfaite, et on avait déjà eu ce débat au moment de décerner la récompense de français de l’année. Simplement, le critère de ce classement est : qui prendrait-on dans notre équipe ? Et en tout cas pour les rédacteurs qui ont voté, ce fut Bardet plus que ceux qui sont derrière lui. Ca ne porte pas que sur la saison 2017, ni que sur la saison 2016. C’est un ensemble.
Pour Aru, Martin, Landa et Uran, c’est pareil. Un ensemble. On ne juge pas que le palmarès. On ne juge pas que la saison 2017. Mais tout ça entre en ligne de compte.
oui après c’est sur que c’est subjectif comme classement, chacun donne de l’importance aux points qui lui tienne à cœur. Entre pinot et bardet il y aura toujours débat, ces coureurs divisent car très différents.
en espérant que cette année les bardet-pinot-alaf franchisse le cap qui les séparent des meilleurs cyclistes mondiaux
Le foot ou le basket son des sports d’équipe dès lors faire une équipe type a un sens . En cyclisme même si il y a une équipe autour les victoires restent avant tout individuelles je ne vois donc pas l’intérêt de faire ce genre de chose . Et puis dans une équipe cycliste il n’y a pas que des coureurs du top . Pour que ça fonctionne il faut quelques grands leaders et quelques très bons équipiers . Et puis comment comparer les différents types de coureurs . Comment comparer des sprinteurs comme Kittel , Cavendish avec des grimpeurs qui jouent la gagne sur les grands tours ou des spécialistes des classiques ? Et votre équipe vous la faite pour le tdf ? pour les classiques flandriennes ? Pour les sprints ?
D´un autre coté Bardet est le coureur qui me semble avoir démontré qu´il possede le plus de chance d´accrocher le Tour a son Palmares; grosse equipe a son service et coureur qui sait se préparer; il est prêt au hold up face à la Sky dans le cas ou celle ci sera peut etre bien obligé de prendre le départ sans son super leader .
Pinot donne souvent l’impression d’un immense potentiel mais la principale différence avec Bardet, c’est la fiabilité. On peut ne pas aimer ce dernier mais 2 podiums consécutifs sur le Tour, c’est tout sauf le hasard. Il a rarement des jours sans et il sait se préparer pour être à son meilleur niveau sur ses objectifs principaux ( Liège et le Tour en général) . Quant à dire qu’il est nul en montagne, il faut être un peu de mauvaise foi. Si on cumule les temps de toutes les étapes de montagne sur le Tour, il est devant, de peu certes, mais ça remet en cause sa prétendue nullité. Et puis j’aime beaucoup Pinot mais je ne trouve pas révoltant de mettre un coureur comme Martin devant. Il est un peu moins bon en montagne mais c’est l’un des meilleurs puncheurs du peloton. Quand à Aru, Uran et Landa, ils ont un niveau proche de celui de Pinot avec un palmarès un poil plus riche( en terme de prestige) pour les deux premiers cités. Et pour revenir sur le niveau de Pinot, je pense qu’il peut être l’un des meilleurs grimpeurs du monde, un très bon rouleur (Romandie 2016) et depuis… Lire la suite »
martin je parlais de sont niveau en montagne, après en terme de palmarès ca a rien avoir bien sur ^^
bardet ses 2 podiums c’est pas du hasard mais il a des circonstances favorable faut pas se voiler la face, en 2016 quintana pas au niveau et porte qui perd du temps prématurément, en 2017 porte abandonne et contador est pas a sont niveau de la vuelta . c’est la course tu me dira mais on peut légitimement penser que dans d’autre circonstances avec les meilleurs coureur à leur meilleur niveau prevu , il fait pas podium ^^ c’est comme pinot en 2014 si froome et contador abandonne pas il est 5eme .
Donc pour le top Ten, il reste Froome, Dumoulin, Quintana,Nibali, Valverde, Sagan, Gilbert, Van Avermaet, Kwiaktowski et Kittel. J’ai tout bon ?
Le suspense est insoutenable…
Reste a voir si le cas Froome lui donnera les faveurs des rédacteurs pour figurer dans le top 10 …
Hors sujet total (ils sont loin du top 20), mais une question me vient en regardant les invitations à Liège / La flèche wallonne / Roubaix (annoncées aujourd’hui par ASO). Ces invitations sont réparties entre les grosses Conti pro principalement françaises et belges, mais deux d’entre elles font le grand chelem en participants aux trois courses. Pour Cofidis, c’est le sponsor d’ASO, OK (même si c’est discutable sportivement).
Mais WB Veranclassic, comment ça se fait? C’est quoi la légitimité à ce niveau d’une équipe dont les leaders devraient être Justin Jules et Kenny Dehaes, et dont la plus grosse victoire 2017 est la Drôme Classic? Je serais Wanty ou Direct Energie, je l’aurais mauvaise.
Veranclassic s’en sort assez bien sur ces invitations, c’est vrai. Mais Direct Energie va louper seulement la Flèche, et Wanty seulement Paris-Roubaix, c’est assez raisonnable. Surtout que ces deux là vont faire le Tour (+ Paris-Nice ou Dauphiné, une course pour chaque), je pense que sur l’ensemble des invitations ils ne se plaindront pas.
En revanche, il y a une particularité dans le lot : Cofidis est invitée absolument partout (les six épreuves françaises d’ASO, sans oublier la Vuelta). C’est eux qui s’en sortent le mieux, surtout vu leurs résultats des dernières années.
Mais ou est passé S Kruijswijk dans ces classements ?
C’est Direct Energie qui semble le plus souffrir avec l’arrivée cette année de Vital Concept dans les invitations. Une seule invitation à ce jour dans les courses belges, Liège Bastogne Liège, et surtout pas de Dauphiné, ce qui me parait pénalisant pour une équipe devant faire par derrière le Tour de France. On pourra trouver cela logique avec la perte de Coquard et Voeckler, mais enfin avec Tarramae, Chavanel et surtout Calmejane, Direct Energie n’est pas désarmée.
Pour revenir au débat Bardet-Pinot qui durera je pense pendant leur carrières, Bardet est plus fiable sur une course de 3 semaines, il l’a démontré au 2 derniers Tours. Il est aussi plus malin que Pinot sur les courses en général. Ce dernier est en revanche plus complet et plus percutant que Bardet. Le principal problème de Pinot (si l’on excepte une fragilité mentale et les mauvaises trajectoires dans les descentes), c’est sa forme fluctuante sur une course par étape, en particulier sur les GT. Sans cela, Pinot aurait déjà pu gagner une ou plusieurs grandes courses d’une semaine et au minimums plusieurs podiums sur des GT.
Pour Romain, il faut être réaliste, il ne gagnera le Tour qu’avec des circonstances favorables. Il est médiocre en clm et ne pourra pas compenser en montagne le le temps perdu dans les chronos. A moins qu’il ne devienne un super grimpeur à la Pantani dans les années à venir, mais j’en doute.
Si l´on considère que Froome aura du mal a passer a travers une suspension ou d´etre accepter au départ du Tour; il semblerai que les chances de Bardet de le gagner n´auront jamais été aussi favorables .
Donc ce sera l’année ou jamais pour Quintana, voire Landa. Les Movistar vont être difficile à maîtriser sur le Tour, à moins qu’ils se neutralisent eux-mêmes…Avec un Porte plus chanceux, Bardet reste un outsider parmi d’autres.
entièrement d’accord, même si pinot a je pense gommé une bonne partie de ses défauts en descentes ( acceptable quoi), mentalement plus solide aussi. mais a juste titre tactiquement bardet est certainement plus fort et surtout plus régulier. il ne tombe jamais malade et ne subit pas de grosse défaillance sur 3 semaines.
Le constat est que Bardet ni Pinot n’ont à ce jour gagné aucune grande course.
C’est vrai, j’ai l’impression qu’ils arrivent à une année charnière : soit ils restent de très bons coureurs soit ils basculent dans le camp des grands champions .
Ce qui me semblent différencier les deux c’est que Bardet a intégré l’idée qu’il puvait ou du moins voulait gagner le Tour et désormais son équipe est taillée pour cet objectif . Ce n’est pas le cas pour Pinot qui semble encore tiraillé entre plusieurs objectifs parfois contradictoires .
j’ai peur qu’ils ne soient jamais de grands champions, on ne le devient pas on , n’ait quasiment grand champions ! a 22 ans les plus grands avaient fait leurs preuves .. Merckx, Hinalut fignon , anquetil et j’en oublie surement, plus proche de nous Sagan et Valverde étaient déja à 22 ans des gars avec la classe,et un beau palmares… Et ne me dites pas Froome qui s’est révélé sut le tard…. Il n’est surement pas l’exception qui confirme la règle, ou celle de la triche
Je suis pas d’accord Gougi. À leur âge Nibali n’avait pas non plus un palmarès fou par exemple Indurain non plus. Il faut du temps parfois
oui mais ils avaient déja gagné a l’âge de bardet et pinot !
et pour ce qui est d’indurain…. peut t’on le qualifier de champion ? génération dopage évolué , institutionnel ! je n”oublierai jamais comment il a dépassé fignon dans un contre la montre lors de sa premiere victoire sur le tour; Le premier extraterrestre du cyclisme. Fignon a su ce jour là q’il était un amateur en matière de dopage, on n’avait passé la vitesse superieure..Des années a éffacer.. les romiger, zulle, indurain et bien entendu nos chers français jusqu à celui qui a mis le cyclisme KO le funeste Armstrong, l’homme qui a définitivement tué ce sport magnifique